« Aujourd’hui, le consommateur est connecté 24h/24, 365j/365 à ses communautés, ses amis, ses marques préférées, ses lieux etc… C’est cette capacité de communication et de relation qui lui permet d’avoir un flux important d’informations et d’être au courant de toutes les nouveautés sur le marché.
Cette connexion passe de plus en plus par les réseaux sociaux et leurs développements constants. Cette utilisation massive des médias sociaux a eu pour conséquences que les entreprises n’ont pas eu d’autres choix que de se tourner rapidement vers leurs communautés présentes sur la toile.
Avec cette recrudescence du web et des réseaux sociaux, les entreprises ont été obligées d’élargir leurs structures et donc de créer de nouveaux postes en incorporant à leur organigramme un réel profil web 2.0 jusqu’ici inexistant.
Parmi ces nouveaux métiers, il en existe un qui tire plus son épingle du jeu : le Community manager.Un des métiers en « vogue » depuis quelques temps. Aux Etats Unis, ce poste séduit en majorité les jeunes et en particulier les femmes. D’après une étude réalisée par socialfresh.com, le salaire brut annuel moyen du gestionnaire de communauté s’élève à 40.000 euros.
Le métier de Community Manager n’est pas de tout repos, contrairement aux idées reçues du profil « geek qui passe ses journées sur Facebook. » En effet, c’est peut-être l’un des métiers les plus éprouvants du web. Le Community manager est celui qui tient le bureau des plaintes, qui renseigne en ligne les consommateurs. Il lance le buzz et tente au mieux de traiter rapidement les réclamations des clients, et surtout mais pas des moindres, il est une sorte d’ambassadeur patient, prêt à tout lire avec empathie et mesure.
Ses missions principales sont les suivantes :
- Favoriser l’échange d’expériences au sein de la communauté.
- Développer l‘image de marque au niveau de sa visibilité au sein de communautés virtuelles
- Maintenir et entretenir la bonne notoriété de la marque
- Améliorer la cohésion de la communauté
En France, il n’existe encore que très peu de formations dédiées à ce métier, pourtant la demande ne cesse de croître. La demande continuera t elle de dépasser l’offre?
Affaire à suivre… »